C'est une politique "à la Kyokai", c'est à dire non écrite. Après Wajima, dont l'après-sumo fut douloureux mais qui se créa également certaines inimitiés de par son attitude peu conventionnelle alors qu'il était en activité, la Kyokai avait fait comprendre très clairement à celui qui était alors encore l'ozeki Kitao, son vrai nom, qu'il lui faudrait scorer "seize victoires en un basho" (en honwari, bien sûr) pour qu'on veuille bien le laisser devenir yokozuna (La suite montra pour l'anecdote que le changement de shikona ne changeait pas nécessairement l'homme, encore qu'il y ait beaucoup à dire sur cette passionnante histoire du yokozuna paria, mais je digresse...).
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