Dernière modification de Soupooshu, 24/09/2016 à 13h25
Quand même, c'est dur pour Kisenosato. 11 Jun yusho, soit autant que les trois autres ozeki réunis. Un seul kadoban. Mais pas un seul basho. Ca doit tourner dans sa tête.
Goeido fête ses deux ans d'Ozeki de la meilleure des manières.
2 yûshô japonais sur 5 tournois... Ça remonte à l'époque Kaiô-Chiyotaikai, ce genre de statistique, non ? Ah non, même pas : Tochiazuma-Kaiô, la dernière doublette japonaise sur une année. Et si un Japonais l'emporte en novembre prochain, ce sera un résultat (3 titres japonais) aussi bon qu'en ... 2003. Ah ouais, quand même...
Le combat de Goeido avec la "sauce autour" :
Selon Kintamayama cela faisait 86 ans qu'un Rikishi originaire de la ville d'Osaka n'avait pas fait de Yusho et c'est la première fois qu'un Ôzeki Kadoban remporte pour le tournoi qui suit la coupe de l'empereur.
En Juryô je n'ai pas compris pourquoi les Shinpan on décidé d'un Tori-naoshi (rematch) pour le combat entre Ura et Amuru. Au ralenti c'était flagrant que le premier nommé avait son talon légèrement en dehors de la Tawara avant que le Russe ne touche le sol.
J'ai décidé d'être heureux, car c'est meilleur pour la santé.
Voltaire.
Bravo à Goeido qui a connu un bon tournoi comme il sait en faire de temps en temps. De là à aller jusqu'au yusho, il n'y a qu'un pas qu'il a franchi avec talent. Alors que le règne d'Hakuho faiblit, Kisenosato voit passer Kotoshogiku puis Goeido au stade yusho avec la perspective de devenir yokozuna eux aussi alors qu'il sait très bien qu'il est le meilleur ozeki globalement... mais sans tournoi à son actif. Arrivera t'il un jour à casser son verrou psychologique ?
Père Boulon
Il n'y a de richesse que d'Hommes.
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