Deux anciens sekitori sont à rajouter pour l'heure dans cet habituel mais triste décompte : Toyonokuni (1 basho en juryo) et le Mongol Shironoryu (9 basho en juryo) quittent la scène.
Deux anciens sekitori sont à rajouter pour l'heure dans cet habituel mais triste décompte : Toyonokuni (1 basho en juryo) et le Mongol Shironoryu (9 basho en juryo) quittent la scène.
Autre nouvelle, même si celle-là n'a pas de caractère offciel, Aran, après son calamiteux 3-12, aurait déclaré que "le sumo, c'est fini, c'est assez, non ?". Des propos rapidement relativisés par son oyakata, histoire soit de désamorcer soit d'éviter un intai prématuré avant le vrai juste après le banzuke (permettant de toucher les salaires encore un certain temps). A suivre, donc.
c'est peut-être le début de la fin pour la présence européenne dans le sumo. Baruto out, kotooshu avec des grands points d'interrogation, takanoyama qui continue sa descente dans le banzuke, kokkai, les ossètes ne sont plus qu'un vague souvenir... restent gagamaru et aoiyama. besoin de sang frais.
tiens j'avais oublié tochinoshin (ce n'est pas le sang frais qui m'y a fait penser)
Pitié, ne mettez pas dans la même phrase et en servant le même but: un ozeki brillant mais ayant commencé tard et fini tôt, un des plus grands et durables ozekis de tous les temps, un éternel makushita sans force ayant brillé la dernière année de sa carrière à grands coups de dopage et de grigris (Takanoyama a-t-il fait un vrai combat de sumo dans toute sa carrière ?), et une génération de tâcherons hypertrophiés bougeant grotesquement, sans technique ni équilibre ! Non, pitié, ne mélangeons pas tout ! Sous prétexte qu'ils sont tous les 3 européens, je vais pas parler de Franquin, Laurent Gerra et Einstein dans le même post ! Et pourtant ils me font tous les trois rire et pleurer sauf un.
Le sumo compliqué ? Bah, facile ! Tachi-aï, BOUM ! Tu fais reculer l'adversaire d'un mètre. Ensuite, trois secondes de tsuppari, un autre mètre. Enfin, tu mets tes bras sous les siens, gaburu-yotsu et hop il est sorti.
on est d'accord, leur seul point commun est d'être européens, ce qui au demeurant m'intéresse assez peu.
Le japon me suffit amplement en ce qui concerne le sumo (et la mongolie du coup, hétérogène elle aussi, mais bon....). C'était juste une remarque comme ça en passant. Certains se souviennent avec nostalgie de la période où il y avait des Hawaïens (c'était mieux avant, ou pas), ou bien quand il n'y avait que des japonais...si un jour il n'y a plus d'européens ça ne me manquera pas. Je garde un regret sympathique pour Baruto, quant à Kotooshu, il m'évoque plutôt actuellement (c'est éminemment subjectif, même si je garde en mémoire sa période brillante) la courte période où ma fille (elle avait dans les 2 ans) refusait de répondre si on ne l'appelait pas kotooshu , ou à la rigueur cocottooshu (je ne sais pas où elle avait pris cette idée, son prénom ne ressemble pas du tout à ça, et elle mesure à peu près 2 mètres de moins que le vrai kotooshu).
Par contre je suis tout à fait prêt à accueillir un nouveau grand champion et de beaux combats, quelle que soit la partie du monde d'où il provienne. Le sumo avant tout. même un français
Au passage je me rends compte que j'ai l'air d'enterrer kotooshu. jusqu'à preuve du contraire il est toujours là, et je veux bien aussi d'un kyokutenho bulgare.
Cocottoshu, excellent !
Le sumo compliqué ? Bah, facile ! Tachi-aï, BOUM ! Tu fais reculer l'adversaire d'un mètre. Ensuite, trois secondes de tsuppari, un autre mètre. Enfin, tu mets tes bras sous les siens, gaburu-yotsu et hop il est sorti.
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