Après une réécoute attentive, il s'agit bien d'un chant mongol. J'ai reconnu la langue. Ne le répétez pas, mais je goûte assez peu la variété mongole. Ils réadaptent souvent leurs chants traditionnels au (dé)goût du jour, c'est très ringard et assez pompier. En Mongolie, je n'aime que la musique traditionnelle, le hip-hop, et un certain compositeur contemporain à qui Asashoryu avait lui-même remis le prix de l'artiste de l'année en 2005, je crois. Le reste me fait sourire quand je suis de bonne humeur. Heureusement, là-bas, je suis toujours de bonne humeurEnvoyé par pereboulon
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