Tenez, je viens juste de penser à un truc contradictoire :
le rijicho a choisi de libéraliser la prise de kensho et de lui enlever son caractère religieux shinto en permettant aussi bien à la main gauche qu'à la main droite de prendre les kensho. Mais comme c'est cette même main qui doit servir pour le geste qui précède la prise de kensho, à savoir le geste religieux de bénédiction des Dieux des directions, alors on se retrouve dans un paradoxe ! Comment être à la fois fidèle à la religion shinto et s'en dégager en même temps ?
(c'est la même chose avec le jeter de sel de la main gauche : une purification que l'on fait d'une main impure !)
J'aimerais comprendre ...
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