Superbe portrait, où tout est dit... Pour l'avoir vu dans un reportage il semble être très simple et avenant, toujours souriant en dehors du dohyo. Il reprends un kabu très symbolique ayant appartenu à deux Yokozune (Nishinoumi et Kitanofuji), et est même éligible pour refonder la heya avec ce prestigieux nom (pour les non-Ozeki il faut 25 basho en Sanyaku ou 60 en Makuuchi).
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