On parle ici de deux choses différentes: un "flag" de détention de substances illicites, par des étrangers de surcroit. Le Japon est très regardant sur ce chapitre, et la suspicion de trafic international nait assez rapidement. La confiscation du visa "rapide" est finalement assez logique.

De l'autre côté, des faits de violence en famille de la part d'un citoyen japonais. Loin (très loin même) de moi l'idée de vouloir hiérarchiser ces deux fautes... Le deuxieme cas est un cas "classique" sans vraiment d'urgence (si les victimes sont protégées), le premier est un cas "express".

Pour Kimura Rinnosuke, est il vraiment urgent que la NSK statue sur son cas ? Si il est en travaux forcés pour 16 mois, on peut dire qu'il n'y a pas d'urgence immédiate, et peu d'interêt à communiquer bruyamment à ce sujet.

Personellement, j'ai tendance à dire que la justice l'a puni, et que venir demander à ses employeurs, par le biais du responsables relations publiques, une sanction sociale supplémentaire, c'est vouloir doubler la sanction. Méritée, certes, mais "payer" une fois devrait suffire.