Au risque de me répéter méchamment, je trouve extrêmement réducteur qu'on ne puisse admettre que d'un côté les "puristes", c'est à dire ceux qui sont attachés aux traditions millénaires du sumo, et d'un autre les "sportifs", qui ne s'intéressent qu'aux combats et aux résultats. C'est un peu comme si en politique on disait qu'il n'y a que l'extrême gauche et l'extrême droite.
Il y a autant de visions du sumo que d'adeptes avec des degrés d'importance, des nuances et tendances diverses. Je refuse de me voir enfermer dans le groupe des "sportifs" parce que j'ai dit à maintes reprises que pour moi la vérité ultime était sur le dohyo. Je m'intéresse à beaucoup d'aspects traditionnels, même si je ne crois plus trop à leur réalité spirituelle.
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