Osaka, ville côtière et méridionale, comparée souvent à Marseille, est connue de tous les gourmets pour la qualité de sa cuisine et l'importance qu'elle occupe dans la vie des habitants de la ville. Dans l'excellent manga de Jiro Taniguchi, Le Gourmet solitaire, le protagiste principal vante les qualités gustatives de cette cuisine si dépaysante pour ce tokyoïte bon teint.
Gastronome à mes heures perdues, je ne pouvais m'empêcher de faire partager ces quelques clichés provenant des blogs de Tochiazuma et de son heya. Crédit à Madorosumaru de Sumoforum pour ses traductions.
A la fin de l'Haru basho, la Tamanoi beya a profité d'un peu de temps libre dans la ville avant de rentrer à l'heya. Et comme vous allez voir, ils n'ont pas été décus...
Vous reconnaitrez Tochiazuma au bout à droite. Au centre, c'est peut-être Tooyama (makushita 48 qui va encore grimper dans la banzuke, c'est lui qui tient le journal de bord de l'heya). Je ne connais pas le do-beya de gauche.
Je ne sais pas ce que c'est mais ça semble sacrément appétissant!
Shibuya, grand espoir de l'heya, semble prêt à affronter les crabes géants d'Osaka! Il est dans le quartier de Dotonbori où il va bientôt être nez à nez avec une bête bien plus impressionnante...
Attablés dans un petit resto de quartier, Shibuya et Tooyama ont l'air heureux... Ils ne savent pas encore qu'ils vont bientôt être mis à rude épreuve...
Le Godzilla des glaces! Sérieusement, quelqu'un a-t-il déjà vu une glace de cette taille?
Au début, ça mange gaiement...
Courageux, ils continuent coûte que coûte... Vont-ils y arriver?
Incroyable:ils l'ont fait! Si avec de tels do-beya, Tochiazuma n'arrive pas à devenir yokozuna, c'est à n'y plus rien comprendre!
Les héros ont bien mérité de rentrer chez eux.
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