Je ne suis pas sur que la salle est complétement plongée dans le noir. Je pense plutôt que le photographe a mesuré la lumière sur le dohyo (qui doit être bien mieux éclairé que la salle) pour éviter d'utiliser son flash, du coup la pellicule est correctement impressionée pour tout ce qui concerne le dohyo au premier plan et le reste, il n'y a tout simplement pas assez de lumière pour impressioner la pellicule compte tenu du temps de pause choisi.
Au début de la photographie, les plaques photographiques étaient tellement peu sensibles qu'il fallait des heures de pose pour arriver à photographier quelquechose. Lorsqu'un photographe prenait une rue noire de monde en photo, on ne voyait pas les passants et le premier être humain photographié en extérieur sans pose, à la manière d'un reportage, est un balayeur un peu paresseux qui est resté dix minutes au même endroit dans une rue de Paris.
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