Il est déjà dans le mur, enfoncé sur quarante centimètres. Il n'a rien à gagner à vouloir affronter une institution, la Kyokai, qui est quand même, il faut s'en souvenir, sous le patronage du Minisètre de l'Education japonais. Il n'a aucune chance devant les tribunaux, et je suis prêt à parier que son "témoignage" devant la Cour n'apportera rien de tangible, et que le Shukan Gendai sera condamné dans l'affaire de diffamation à l'encontre d'Asashoryu.
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