Le point de vue inverse est également défendable, en ce sens que l'on peut tout aussi bien dire que le religieux a été plaqué sur un "art martial" (qui était bien plus violent que ce que nous connaissons aujourd'hui) qui allait disparaître sous les interdits s'il n'avait eu cet alibi. Ceci permet de relativiser quand même pas mal les significations religieuses (qui sont d'ailleurs de nos jours assez peu prises en compte par les lutteurs en dehors de leur aspect de rituel traditionnel).Envoyé par Sakana
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