Mouais... faudrait quand même sacrément serrer les gens pour faire rentrer 70000 dans Bercy
edit : bien joué, kitano, je sèche lamentablement, perso...
Mouais... faudrait quand même sacrément serrer les gens pour faire rentrer 70000 dans Bercy
edit : bien joué, kitano, je sèche lamentablement, perso...
Bon, en furetant un peu, j'ai quand même trouvé ça sur les nimai kansatsu :Envoyé par toonoryu
A partir de 1878, les rikishi, gyoji et oyakata furent contraints de se rendre à l'office central de la police pour s'y enregistrer afin de recevoir un "Kansatsu" (licence) leur permettant de pratiquer leur profession. Cette loi fut abolie en 1931 mais le nom demeura dans l'Ozumo. Par conséquent, être un "entraîneur actif" équivaudrait à avoir deux licences, d'où l'origine du terme de "Nimai Kansatsu".
Il n'y a pas d'évènement spécifique auquel on puisse rattacher l'abolition du système, mais en 1958 la Kyokai décida qu'un gyoji ne pouvait être oyakata en même temps (et par extension un rikishi, bien que ceci ne soit pas clairement documenté). De 1932 à 1958 il y eut 14 cas de NK. Comme il n'y a rien de clair qui dise que le système fut aboli la NSK pourrait le raviver à tout moment.
le dernier rikishi à s'être vu attribuer un NK fut le yokozuna Tochinishiki en 1959, un an après l'abolition des gyoji-oyakata. En 1959, le shisho de Tochinishiki, Kasugano oyakata (ancien yokozuna Tochigiyama) décéda brutalement, sans laisser d'instrcutions sur l'héritage de la heya, mais il était évident que comme heyagashira, Tochinishiki aurait dû la reprendr. Par déférence envers l'acien oyakata, la Kyokai attribua donc un NK. Tochinishiki se retira en mai 1960, mais jusque là il fut à la fois yokozuna Tochinishiki et Kasugano oyakata.
Merci pour l'info toonoryu.
Pas d'arrêt officiel, c'est ce que je pensais. J'avais lu quelque part que certaines personnes pensaient que le système serait réintroduit lorsque Kotonowaka deviendrait Sadogatake oyakata (ce qui ne fut finalement pas le cas, on le sait).
Pour revenir à ma question, ce record d'affluence eut lieu lors d'un basho et non d'un jungyo, mais les circonstances étaient très, très particulières...
A tout hasard, un basho de la guerre, en plein air ?
edit : ça a eu lieu un seul jour ? si oui, je dirais l'intai de Futabayama, qui fit pleurer la nation japonaise toute entière...
Héhé, je viens juste de voir que c'était une partie de la réponse à une autre question que tu avais posée...Envoyé par toonoryu
Allez plus q'un petit effort, pour la réponse complète.
Oui c'était bien pendant la guerre. Jusqu'en janvier 1944 les honbasho de Tokyo avaient lieu au Kokugikan. Mais l'armée japonaise s'est alors appropriée le lieu. Les tournois de mai et novembre 1944 eurent donc lieu sur un dohyô érigé en plein air au stade de baseball Korakuen.
Cela attira une foule de 70000 spectateurs. Un record pour assister a un tournoi de sumo.
Oui, c'est ça.Envoyé par Info-sumo
Je te laisse la main.
Au 12ème siècle, le rôle du sumo a évolué, passant de simple amusement à une spécialité militaire. Ce changement était le résultat direct de l'évolution du pouvoir politique des militaires.
Pendant cette même période de troubles, d'autres disciplines furent développées pour des raisons militaires. Par exemple le tir à l'arc, le yabusame (tir à l'arc à cheval) et le sabre.
La question est donc: comment s'appelait donc ce sumo de guerriers ?
Le no-zumo de la période Kamakura ? (ou sumo de champ)
Non, ce n'est pas ça. Il s'agit d'art militaire, donc ça doit se retrouver dans le mot japonais.
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