• Natsu Basho 2010 - 12ème journée (jûninichi-me)


    Est-il trop fort ou les autres trop faibles ?


    Voilà bien la question que l’on est amené à se poser, en contemplant cette douzième journée du Natsu basho 2010. Si le suspense en ce qui concerne le yusho de makuuchi avait déjà perdu pas mal de sa substance au fur et à mesure des échecs des rivaux putatifs du yokozuna mongol Hakuho, il a pour ainsi dire quasiment disparu en ce jour, pour laisser place à une sorte de sentiment de « déjà-vu ». On ne peut en effet s’empêcher de se souvenir d’une certaine année 2005, qui avait vu l’écrasante domination d’un autre yokozuna mongol, récemment parti sous d’autres cieux. S’il reste à l’actuel à concrétiser en termes de yusho consécutifs la domination qui transpire de son sumo sur le dohyo, les choses sont désormais bien lancées. Et force est également de constater que l’on se pose également la question qui était sur bien des lèvres il y a quelque cinq années : A-t-on simplement devant nous un extraterrestre qui enchaîne les tegatana avec la régularité d’une montre suisse, ou un excellent lutteur qui profite d’une médiocrité ambiante et d’une certaine absence de concurrence pour faire table rase à chaque basho ?


    Il est tentant de répondre « les deux », au vu du déroulement de cette journée. Dans le musubi-no-ichiban, Hakuho l’emporte une nouvelle fois sans trembler face à Baruto, en dépit d’un tachiai éclair « breveté Kotomitsuki » de la part de l’Estonien. Mais le dai-yokozuna est tout simplement trop fort, bien trop fort, et c’est campé sur un jeu de jambes lucide et stable qu’il peut placer des tsuppari en contre et sortir le Balte en deux secondes et en oshi, une rareté dans les confrontations entre les deux hommes. Le yokozuna possède désormais trois victoires d’avance sur trois hommes à trois journées de la fin, autant dire que l’objectif de rejoindre Wajima au panthéon du sumo est dans la poche. Le verra-t-on arborer un mawashi doré en juillet ? Hakuho n’est en outre qu’à quatre unités de son rensho (série positive) record, six de la meilleure performance de son ancien rival Asashoryu. De quoi lui faire trouver les motivations pour rester concentré, en attendant mieux au niveau des records.




    Le yokozuna Hakuho, en oshizumo, ou comment prouver au monde que l’on a un sumo complet…



    Il y a lui et le reste du monde…



    Derrière, force est de constater une certaine médiocrité de la concurrence, également. Sans nier les mérites du Russe Aran, le seul fait que ce soit lui qui était seul poursuivant à l’orée de la douzième journée en était un signe. Aran, en course pour le jun-yusho, abandonne une bonne partie de ses chances toutefois en ratant complètement son tachiai, au terme duquel Asasekiryu se retrouve avec un morozachi extrêmement profond sur son adversaire, la suite n’étant plus qu’une question de temps avant que la puissance du Russe ne lui soit plus d’aucune utilité pour vainement résister.




    Aran lâche prise, face à Asasekiryu qui en avait une bien meilleure…



    Aran est rejoint (loin) derrière Hakuho par l’ozeki Harumafuji et le maegashira 5 Hakuba. Si la présence de l’ozeki mongol constitue une demi-surprise, au vu de son état de forme d’avant-basho (son genou blessé en inquiétait plus d’un), celle du hiramaku mongol est une totale surprise. Inspiration géniale de Hakuba, qui s’offre le scalp de Kotooshu en lui agrippant d’un éclair le bras droit après l’atari pour le tirer avant de profiter du déséquilibre du Bulgare pour passer en dessous de sa garde et le sortir dans le mouvement. Kotooshu n’en revient encore pas une minute après le combat. Hakuba peut éventuellement rêver d’un rang de sanyaku, si les circonstances sont favorables. Si certains parlent toujours du club des ozeki, il semble décidément que Harumafuji n’en fasse pas partie. Le Mongol, qui n’a pas grand-chose à espérer dans ce basho, complique les choses pour l’ozeki vétéran Kaio, qui n’a plus beaucoup de marges de manœuvre. Le déficit de puissance du vétéran est flagrant sur son combat. Il atteindra les mille victoires, certes, mais que la fin est longue…




    Nouvel embarras pour Kotooshu, surclassé par l’étonnant Hakuba.



    Derrière ces trois hommes, un groupe de six lutteurs sont à huit victoires. Outre Baruto et Kotooshu déjà cités, on retrouve Shimotori, qui plafonne après un bon début de tournoi. Gros corps à corps entre Kyokutenho et Shimotori, le premier parvenant au terme de la lutte à imprimer des gaburi-yori (sauts de cabri dont Kotoshogiku s’est fait une spécialité) assez lents qui finissent d’anéantir la résistance de son adversaire. Décrochent aujourd’hui leur kachi-koshi le M4 Asasekiryu, et les deux M13 Takamisakari et Yoshikaze. Kimurayama a une bête noire, en la personne de Takamisakari. Cinquième défaite nette et sans bavure, le Robocop parvenant à passer sous la garde pour un succès facile et un kachi-koshi, enfin. Mokonami essaie d’imprimer du mouvement dans son combat, intention louable, mais Yoshikaze se montre plus rusé et vif à ce jeu là, et c’est lui qui remporte le kachi-koshi en jeu dans ce combat.




    « Il est où, il est où ? »...



    Plus loin, on retrouve Kotomitsuki, qui rate son tachiai, la tentative de tirage qu’il fait sur Kitataiki ne servant pas à grand-chose, ce dernier gagnant en puissance son premier combat face à un ozeki, dont il égale le score afin de se rapprocher du kachi-koshi. Basho médiocre décidément pour Kotomitsuki. Belle tentative de variation de Tochinoshin, qui attaque Kisenosato en oshi pur plutôt qu’en yotsu. Mais Kisenosato a de la ressource, et confirme qu’il sait s’adapter rapidement aux changements tactiques, en montrant du sumo solide. Plus qu’un succès pour confirmer son rang de sekiwake. Bel assaut d’Aminishiki qui, à la surprise générale, sort d’entrée des gaburi-yori face à Kotoshogiku, dont c’est la marque de fabrique, grâce à une belle prise intérieure sur le mawashi de l’élève de Sadogatake. Mais ce dernier, en position de kimedashi, fait preuve d’une puissance impressionnante pour résister puis contrer avant d’achever Aminishiki d’un kotenage puissant qui fait craindre un instant pour le coude de son adversaire. Belle victoire de Kakizoe, très en forme en ce moment, qui assaille dès l’atari Kakuryu, qui ne peut placer ses mains sur le mawashi de son adversaire, et doit reculer un bon moment avant que Kakizoe ne place une ouverture qui lui donne la victoire. Une prise main droite intérieure de Tokitenku après un tachiai assez mou est fatale à Tokusegawa, dans la confrontation des Mongols. Lutte sévère entre Tosayutaka et Wakakoyu, en oshi pur. A ce jeu, Wakakoyu est plus solide et expérimenté que son adversaire, qu’il laisse tomber au moment opportun.




    Kotomitsuki, bien emprunté aujourd’hui.



    Tamanoshima concède d’entrée une profonde prise de mawashi à Takekaze, et ne doit qu’à son gabarit de retarder une défaite dès lors inéluctable. Le chant du cygne pour le vétéran, bien mal en point depuis cinq basho et qui va retourner en juryo pour la seulement deuxième fois en presque dix années. Combat sérieux d’Okinoumi qui prévient toute tentative de saisie de bras par Koryu avant de précipiter subtilement sa chute au contact. Gros tachiai de Goeido qui déstabilise totalement Tochinonada avant de l’achever en shitatenage. Belle victoire de Toyohibiki, en oshi face à Hokutoriki qui ne parvient jamais au cours du combat à imprimer son rythme ni à trouver la distance. Victoire difficile mais pas trop pour Wakanosato, qui profite du déséquilibre avant de Tamawashi pour lui infliger une projection sans appel. Succès sans trembler pour Miyabiyama, à qui Kokkai réussit bien (huitième de rang). Un classique de l’ex-ozeki, tsuppari et tirage. Nouvelle charge de mammouth de Tochiozan, qui n’est pas loin de reproduire son isamiashi de la veille contre Kotooshu, cette fois face à Toyonoshima. Il s’en faut cette fois encore d’un dixième de seconde, cette fois-ci à son avantage. Toyonoshima n’a lui pas existé une seconde dans l’affrontement. Tochinoshin, de son côté, doit encore cravacher pour le kachi-koshi et le possible shukun-sho qui l’accompagnerait.



    En juryo, le suspense règne. Le leader Kyoseumi n’est plus seul en tête. Il tombe aujourd’hui sur un os du nom de Masatsukasa, qui produit un sumo de qualité, variant avec une maîtrise consommée les manœuvres d’évasion et les poussées franches en nodowa, ne laissant aucun répit au poids-lourd qui doit s’avouer vaincu sur une dernière poussée précédée d’un choc de tête sur sa mâchoire. Le basho est une nouvelle fois relancé, comme il est de coutume en juryo. Le shin-juryo Matsutani est lui dans une forme olympique et sort tout en puissance, en oshi-zumo s’il vous plaît, le lourd Tokushinho, pour partager la tête du yusho.


    Les deux hommes sont seuls, car Bushuyama et Daido manquent le coche. Tamaasuka montre une solidité offensive face au shin-juryo en forme, Daido, et a partie gagné dès l’instant où il parvient à passer ses deux bras en morozachi, sous la garde de l’adversaire. Bushuyama rate l’occasion de monter sur la première marche de la division, en se faisant berner par un adversaire contre qui il menait pourtant cinq succès à rien. Sagatsukasa profite de sa mobilité pour se retirer lors de l’assaut du poids-lourd et le laisser choir tout seul. Bushuyama et Daido sont eux rejoints par Gagamaru. Deux poussées gigantesques après un atari équilibré suffisent à Gagamaru pour projeter Tosanoumi au delà des sunakaburi. Il sera le troisième Géorgien en makuuchi.


    Futeno concède un revers logique, dépassé en intensité par Kanbayashi qui joue sa peau chez les sekitori lors de ses quatre derniers combats. Kirinowaka, lui, est déjà condamné, et cela se sent, face à Wakatenro qui lui n’est pas encore sauvé. Oshi puissant pour ce dernier, et victoire facile. Echange violent de tsuppari, que Kasuganishiki conclut en plaçant au bon timing un hatakikomi décisif. Kasuganishiki assure sa place en juryo, Sadanofuji devra en revanche remporter deux de ses trois dernières rencontres. Hoshikaze place lui un très joli uwatenage qui conclut un combat fort bien mené en yotsu-zumo. Déjà rétrogradé, Kaiho n’est plus que l’ombre du brillant lutteur qu’il fut. Toyozakura le balade aujourd’hui avec facilité, avec une pluie de tsuppari conclu par un hatakikomi. Si Kaiho doit rester en makushita au prochain basho, ce ne sera sans doute que pour de pragmatiques motivations de toshiyori-kabu, car il devrait tout autant souffrir chez les makushita-joi. Décalé légèrement au tachiai, Sokokurai fait tourner trois fois Sakaizawa avant de saisir le mawashi profondément et de le sortir imparablement. Kasugao n’a encore pas compris que pour battre Yamamotoyama, il vaut mieux éviter de tenter un oshidashi frontal. La leçon se paie cash d’une kuroboshi concédée après une sortie sans gloire du Coréen. Succès en puissance pour Shotenro, qui garde un mince espoir de retour en makuuchi mais n’a plus droit à l’erreur.



    Journée de transition chez les toriteki aujourd’hui, peu de lutteurs en tête des yusho ou même à 5-1 étant proposés en combat.


    Comme son frère Takatoshi, Takageppo se prend un spécialiste d’oshizumo en pleine face, et le retour sur terre est tout aussi dur. 1-5 pour l’heure. Gros tachiai et sumo puissant pour le lourd Yamashita, qui limite son make-koshi. Deuxième kachi-koshi d’affilée, sur hatakikomi, pour Kotokuni qui voit peut-être le bout du tunnel, en tous ls cas sans doute la fin du purgatoire. A son meilleur rang en carrière, le léger Bugendai se montre technique et peut encore espérer le kachi-koshi. Dans le choc 100% mongol de makushita, Azumaryu et Sensho se montrent comme attendu aussi techniques l’un que l’autre, et c’est la marge de puissance du premier qui fait la différence sur le shitatenage qui l’emporte. Kachi-koshi pour Azumaryu, Sensho devra attendre. Utchari de danseuse à la tawara pour Kasugakuni, l’ancien ms1 décrochant à cette occasion le kachi-koshi. Numéro d’équilibriste à la tawara aussi pour le léger Daionami, qui inflige ainsi le make-koshi à son lourd avdersaire Tokizakura. Malgré sa résistance et sa volonté, la crevette Suzaku et ses 95 kilos ne peut rien contre un Ikioi puissant et en forme. Yorikiri sans appel. L’espoir Kamei plafonne décidément et concède le make-koshi, dominé de bout en bout par Ryuden en yotsu-zumo. Furuichi concède un large déficit en kilos et en centimètres, mais sa technique et sa vivacité posent problème à Mochimaru, au cours d’un rude combat conclu sur un esthétique uchimuso du lutteur de poche. Les shimpan voient cependant le combat comme « too close to call » et décident un torinaoshi. Le déficit de puissance parle cette fois plus fort en dépit des astuces de Furuichi, qui doit céder au final. Dommage. Le tout aussi minuscule Tochitsubasa doit lui aussi céder pour les mêmes raisons que son prédécesseur. L’ancien juryo Toyonokuni est kachi-koshi. Tsukedashi à la carrière largement obérée par une blessure, Hakiai revient progressivement au plus haut niveau et se permet aujourd’hui de battre nettement l’ancien hiramaku Hamanishiki pour décrocher un kachi-koshi méritoire et mérité. Chiyonokuni chute lourdement le massif Minami, Hoshihikari résiste vaillamment à la grosse poussée de Daishoyama avant de placer une petite merveille de kotenage aérien en suspension à la tawara. Du grand art pour le poids léger mongol que l’on aime voir pratiquer un sumo si esthétique. Combat plus poussif entre les lourds Yanagawa et Shoketsu, conclu par un yorikiri au ralenti du dernier cité. Intéressant choc entre Oniarashi et Tochihiryu, deux lutteurs à leur plus haut en carrière. Tochihiryu profite de sa henka surprise pour soumettre le poids léger mongol, et décrocher son kachi-koshi. On pourrait le retrouver proche de la zone de promotion en juillet. Daishoumi inflige le make-koshi et remet le retour de Ryuo à plus tard, s’il revient un jour au vu de ses pépins physiques. Fukao domine Towanoyama mais l’ancien fait parler l’expérience à la tawara en détournant légèrement la charge du jeunot tout en plaçant une amorce de kotenage. Fukao devra encore attendre. Depuis son changement de shikona, l’ancien Ri montre de très belles dispoisitions. C’est encore le cas aujourd’hui, Tochinowaka plaçant une demi-henka pour achever quelques secondes plus tard le travail sur uwatenage, et se retrouver en juillet à son plus haut en carrière, aux portes des sekitori. Très beau combat pour Amuru, qui termine sur un shitatenage volontaire après un tachiai de mule, et inflige le make-koshi au Mongol Arawashi, tout en gardant l’espoir de gravir les marches vers son meilleur rang. Oshidashi puissant enfin pour Aoki, qui échappe pour l’heure au make-koshi en douchant l’ascension de Homarefuji.


    Sur le dohyo de sandanme, Dewanosato devra encore attendre pour son kachi-koshi, dépassé en puissance en dépit d’un bel avantage à la tawara. Kazafuzan bat facilement son faible adversaire sur hatakikomi et peut encore espérer le kachi-koshi. Déjà kachi-koshi, Karatsuumi manque cette opportunité de creuser l’avance et de s’assurer une belle place en makushita. Défaite imparable en oshi face à Fujimoto. Nogami passe sous la garde de Wakakasuga en dépit d’un déficit de taille et peut encore espérer une montée en makushita pour son seulement huitième basho, une jolie performance. Les frères Ogasawara sont décidément au plus mal, Takatoshi aggravant son make-koshi en concédant un revers logique face à Katsunofuji qui le surclasse en puissance. Retour sur terre brutal après sept kachi-koshi. 152 basho sans voir les sekitori est une forme de record. Kimenryu, le détenteur, place une henka bien suivie d’une projection et peut ainsi envisager un retour en makushita, où il a passé l’essentiel de sa carrière. Chiyoarashi, roublard, détourne les assauts de son puissant adversaire Yamatofuji et nie son débours de poids et de taille pour s’assurer lui aussi une place au soleil de makushita.


    En jonidan, avec la défaite de Suekawa, ils ne sont que trois à prétendre à la victoire. Comme ils sont également trois en sandanme, il devrait y avoir un affrontement trans-divisionnel, probablement entre Sasakiyama et Ikinoshima. Logiquement, on se dirige vers des finales Sasakiyama-Saishin pour les jonidan et Takunishiki-Kei pour les sandanme. Shoma plafonne et reste pour l’instant à quatre victoires, tandis que le vétéran Fusanohana devra encore attendre pour décrocher son kachi-koshi.


    En jonokuchi, l’un de ceux-ci, Ryuonami, affrontait un homologue invaincu de jonidan, Suekawa, qui ne fait logiquement pas le poids face à la puissance du nouveau shindeshi venu des steppes. Le choc de jonokuchi opposera Ryuonami à Hashimoto. Tatsu dispose logiquement du bon Terutsuyoshi en faisant valoir ses cinquante kilos d’avantage.


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    Osaka basho 2024

    Selon l’agence de presse japonaise Kyodo News, des sanctions financières ont été prises aujourd’hui par la NSK, à l’encontre de rikishi

    skydiver 19/04/2024, 12h44 Voir le dernier message
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    [ Akebono ] Présentation générale

    D’après divers médias japonais aujourd’hui, la cause du décès est bien une défaillance cardiaque, à l’hôpital où l’ex Yokozuna était traité.

    skydiver 16/04/2024, 18h45 Voir le dernier message
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    [ Akebono ] Présentation générale

    Les médias japonais donnent un large écho à cette disparition. Akebono Yokozuna, après ses prouesses sur le dohyo, restait une figure populaire au Japon.

    skydiver 12/04/2024, 00h44 Voir le dernier message
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    [ Akebono ] Présentation générale

    Le site de CNN propose un article consacré au Yokozuna depuis quelques minutes.

    skydiver 11/04/2024, 15h34 Voir le dernier message
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    Le 64eme Yokozuna a gagné 11 basho. Il laisse derrière lui son épouse, deux filles et un garçon. Hospitalisé depuis le début du mois, il est décédé d’une

    skydiver 11/04/2024, 15h28 Voir le dernier message
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    Je suis au Japon et la télévision publique NHK vient d’annoncer le décès d’Akebono, à l’âge de 54 ans.

    skydiver 11/04/2024, 12h31 Voir le dernier message
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    Osaka basho 2024

    Si vous avez accès à la chaîne NHK International, à compter de dimanche prochain, vous pourrez revoir les meilleurs moments de ce basho. Plusieurs rediffusions,

    skydiver 11/04/2024, 07h19 Voir le dernier message
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    Osaka basho 2024

    En effet. Information à confirmer mais, à ce jour, je ne trouve toujours pas de liste sur le site de la NSK ou ailleurs.

    skydiver 09/04/2024, 03h14 Voir le dernier message
    lolo

    Osaka basho 2024

    Si c'est le cas, ça fait un sacrée renouvellement.

    lolo 08/04/2024, 21h21 Voir le dernier message
    skydiver

    Osaka basho 2024

    Petite exposition sympathique qui ne prend qu’une trentaine de minutes. Beaucoup de photos couvrant plusieurs générations de rikishi, des tegata

    skydiver 08/04/2024, 10h45 Voir le dernier message