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Sujet : SumoFanMag n° 3

  1. #1
    Modérateur Avatar de toonoryu
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    SumoFanMag n° 3

    La nouvelle édition de SFM est en ligne ( http://www.sumofanmag.com/content/Is...Old_French.htm ), avec cette fois-ci la VF directement en ligne sur le site (je ne posterai donc plus ici les textes , mais continuerai à vous informer car je n'ai pas encore effectué toutes les traductions...). Tous commentaires ou précisions bienvenus. Mon texte préféré : l'hommage au futur retraité Kotozakura, alias Sadogatake oyakata.

    Bonne lecture et enjoy !

  2. #2
    Senior Member Avatar de Kaiomitsuki
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    Un grand merci Toonoryu

    je cours lire l'article sur Kotozakura ... en français


    Je sens que nos voisins allemands vont vouloir aussi leur version ....

  3. #3
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    Ouais, mais là je ne pourrai rien pour eux...

  4. #4
    Et en serbo croate ? Il parait que tu as des notions.
    Père Boulon

    Il n'y a de richesse que d'Hommes.

  5. #5
    Comme le lien ne fonctionnait pas, j'ai corrigé le message de toonoryu en mettant le lien direct vers l'article en français.

  6. #6
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    Merci info-sumo !

    Nouvelle traduction effectuée par votre serviteur sur le bilan (intéressant) des minarai lors du dernier Aki. Vous pouvez la retrouver à l'url suivant : http://www.sumofanmag.com/content/Is...shi_French.htm

    Les autres VF toujours en ligne :

    - Championnats amateurs de Sakai : http://www.sumofanmag.com/content/Is...kai_French.htm
    - Visite à l'Azukazeki-beya : http://www.sumofanmag.com/content/Is...eek_French.htm
    - Le Kotooshu tchèque : http://www.sumofanmag.com/content/Is...etr_French.htm
    - Interview de Katrina Watts (grande spécialiste du sumo) : http://www.sumofanmag.com/content/Is...ai_French5.htm
    - L'amasumo : http://www.sumofanmag.com/content/Is...101_French.htm


    Il me reste encore le koen de LV, les kimarite, plus le MDS-e... que du bonheur !


    Enjoy, et n'hésitez pas à me livrer vos commentaires

    Le Toonoryu

  7. #7
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    Un peu chargé actuellement, donc un peu de retard ( ), mais voilou, le résumé du koen de Las Vegas est en ligne en VF. Vous pouvez le retrouver à l'adresse suivante :
    http://www.sumofanmag.com/content/Is...gas_French.htm

    Enjoy !

  8. #8

  9. #9
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    Comme la traduction "officielle" met un peu de temps à être mise en ligne, je vous propose ce soir le texte issu de l'excellente série "Kimarite Focus" de Mikko Mattila. Ce texte est très technique, et n'ayant pas la prétention d'avoir encore suffisamment de bagage en la matière, toutes remarques seront bienvenues, en particulier sur l'explicatif des prises. Enjoy !


    Kimarite focus 3
    Sotogake, uchigake et Watashikomi



    Par Mikko Mattila


    Dans le sumo, les techniques de balayage ne sont décisives que pour un nombre restreint de combats. Une grande majorité de rikishi ne les utilisent que très rarement, voire même jamais. D’un autre côté, certains rikishi techniques s’essayent à ces techniques de manière assez régulière. Selon que le kirikaeshi soit ou non considéré comme un balayage, le sotogake est en première ou deuxième position des techniques de balayage les plus employées dans le sumo. Mais il ne fait aucun doute que c’est la plus fréquemment employée des techniques portant le suffixe « gake ». Le sotogake est un balayage extérieur dans lequel l’attaquant enroule sa jambe autour de la jambe de l’adversaire se trouvant du même côté (généralement, l’attaquant enroule sa jambe droite autour de la jambe gauche de l’adversaire) et exerce une pression suffisante pour entraîner une perte d’équilibre de l’adversaire. Certains sotogake prennent du temps à se mettre en place et le mouvement s’apparente en fait plus à un crochetage de la jambe de l’adversaire pour poursuivre par une pression constante sur ce côté, en essayant alors de faire chuter l’adversaire à l’aide d’une prise sur son mawashi comme levier (Takanonami l’effectuait souvent également à l’aide d’une clé de bras). Certains sotogake s’effectuent dans un mouvement de balayage plus fluide qui déstabilise l’adversaire presque immédiatement. Ce type de sotogake est observé surtout dans des situations de combats très mobiles. Le sotogake peut être employé efficacement comme une contre-attaque sur un essai de prise adverse, tel que ce que l’on a pu observer lors du récent Aki Basho, quand Aminishiki a réagi aux tentatives d’Asashoryu en sortant un sotogake pile au moment opportun, provoquant une perte totale d’équilibre du yokozuna. De même, quand Takanonami était encore en activité, il employait souvent des porter en kimedashi, contre lesquels certains rikishi finirent par réagir en tentant un brusque sotogake, réussissant à l’occasion à contrer l’irrésistible combinaison de pivoter/porter.

    Le sotogake est une prise qui n’est employée avec succès que par les rikishi doués pour le sumo à la ceinture. Takanonami en était le maître, et remporta 17 combats en makuuchi sur cette technique. Des rikishi en activité, le yokozuna Asashoryu et Aminishiki sont les plus férus de cette prise, chacun ayant dix victoires sur sotogake. Petit détail intéressant, le yokozuna Asashoryu a battu Wakanosato trois fois sur sotogake et deux fois sur des tentatives de sotogake qui ont été la prise capitale avant de l’emporter sur une technique plus courante. A l’évidence, Wakanosato est impuissant face aux sotogake d’Asashoryu, mais Jumonji l’est encore plus, comptant pour cinq des dix sotogake d’Aminishiki.

    Depuis l’Haru Basho 1990, le sotogake a été utilisé avec succès en makuuchi 105 fois. Cela représente moins d’une victoire pour 250 combats. En termes statistiques, on peut s’attendre à voir un ou deux sotogake par tournoi. Enfin, le ration n’est pas très différent si l’on prend en compte les divisions inférieures.

    La deuxième technique de balayage la plus fréquente, l’uchigake, est bien moins utilisée que le sotogake en makuuchi, mais l’arrivée du magicien de la technique de balayage, le Mongol Tokitenku, en a accru le nombre de manière significative. Dans la première moitié des années 1990, Mainoumi était le principal utilisateur d’uchigake et fut pratiquement le seul à l'employer en makuuchi, en compagnie d’un autre rikishi lui aussi réputé pour son immense palette technique – Tomonohana. Quand la carrière de Mainoumi tirait à sa fin, l’uchigake devint une technique très rare qui n’apparaissait qu’une fois par an en makuuchi. Les trois dernières années ont vu un changement radical s’amorcer, et l’uchigake reprend une place un peu plus visible dans le répertoire des kimarite employés. Kaiho est le seul rikishi à l’avoir emporté sur uchigake en 2000, 2001 et 2002, mais depuis 2003, de nouveaux rikishi capable d’employer cette technique sont apparus et ont déboulé en makuuchi avec un cerveau et des organes prédisposés à cette prise. Asasekiryu, Kasugao et Takekaze sont réputés pour s’essayer à l’uchigake de temps à autres. Cependant, Tokitenku est le facteur principal de la réapparition de l’uchigake dans les quelques dernières années. Des six uchigake recensés en makuuchi depuis le Nagoya Basho 2004, cinq portent la marque de Tokitenku. Depuis l’Hatsu Basho 1990, l’uchigake n’est apparu que 42 fois en makuuchi, ce qui veut dire une apparition pour 650 combats effectués. Mais avec les Mongols, Kaiho, Takekaze et Kasugao dans les parages, il est possible que l’uchigake soit vu plus fréquemment. L’uchigake est moins utilisé dans le sumo que dans le judo, où il est connu sous le vocable de Uchigari. En sumo, il est qualifié de balayage intérieur, l’attaquant enroulant sa jambe autour de la jambe opposée de l’adversaire de l’intérieur, par opposition au sotogake qui relève d’une prise extérieure. Autrement, l’uchigake est similaire dans son principe à ce dernier, le but étant de balayer la jambe de l’adversaire en aidant le mouvement d’une prise de mawashi. La jambe droite s’enroule autour de la jambe gauche, et inversement. En dépit de leur rareté, ou plutôt en raison de cette rareté, l’uchigake attire une attention bien méritée. Quelques exemples mémorables existent de rikishi de petite taille se défaisant d’adversaires monstrueux sur uchigake. En 1994, Mainoumi fit basculer Konishiki (plus de 250 kg) sur un uchigake, et en 2001 Kaiho réserva un traitement identique à Musashimaru. Ces deux combats sont de ceux qui laissent une marque indélébile dans l’esprit des fans de sumo.

    La tentative d’uchigake est bien plus fréquente que les victoires sur cette technique. C’est tout simplement parce qu'un rikishi peut placer un uchigake et bien souvent prend un avantage important sur cette attaque tout en poursuivant sur une autre technique pour emporter le combat. Par exemple, Kaiho s’est servi depuis ses débuts à de nombreuses reprises de l’uchigake, mais ne l'a emporté sur cette technique que cinq fois en makuuchi.

    Le watashikomi est à peu près aussi fréquemment utilisé que l’uchigake. A peine 38 watashikomi ont été exécutés en makuuchi depuis l'Hatsu Basho 1990. Cette prise peut être traduite comme une projection au sol par prise de cuisse et s'observe généralement au bord de la tawara, lorsque l'attaquant crochète le genou de l'adversaire et le soulève, tout en conservant une poussée vers l'avant avec le haut du corps, et ce particulièrement quand son adversaire, en position difficile, tente un dégagement en position basse alors que l'attaquant conserve une pression du haut du corps sur le rebord du dohyo. Cette situation offre systématiquement une belle occasion de se servir de la jambe de l'adversaire comme point d'appui en l'attrapant, tout en combinant au détriment de l'adversaire la perte d'équilibre à une situation périlleuse, sur le fil du rasoir. De temps à autre, un soulever de jambe concluant un mouvement en yori/oshi n'est pas répertorié comme watashikomi mais plutôt comme yoritaoshi. A l'évidence, la différence se situe dans le fait qu'il faut que la jambe crochetée soit tirée vers le haut, tandis que dans le même temps l'attaquant doit se trouver suffisamment au contact pour pousser son adversaire avec le haut du corps. Le watashikomi est alors officiellement reconnu.

    La nouvelle star, l'immense (203 cm) et jeune Bulgare Kotooshu, qui effectue de loin la plus impressionnante progression en makuuchi, a d'ores et déjà gagné cinq combats sur watashikomi au cours de sa jeune carrière en makuuchi. Kyokushuzan est l'unique rikishi ayant remporté à l'heure actuelle plus de victoires sur cette technique. Il est fort probable que Kotooshu le dépasse prochainement et il est même susceptible de battre tous les records de watashikomi dans les années à venir. Son allonge lui confère la possibilité de se servir souvent du watashikomi, à la fois pour conclure une attaque et comme un coup de Jarnac défensif pour contrer des tentatives de prises à revers ou même de projection. On a pu voir un bel exemple du répertoire de watashikomi de Kotooshu l'an dernier lors de la neuvième journée du Kyushu Basho, quand il a effectué un rarissime watashikomi au centre du dohyo pour contrer une tentative d'uwatenage de Tokitenku. Il y a de fortes raison de penser qu'il continuera à remporter des victoires sur watashikomi dans l'avenir. Comme le watashikomi est de toute manière extrêmement rare, il y a fort à parier que Kotooshu deviendra le roi de cette technique, quel que soit le succès qu'il puisse rencontrer dans sa carrière.

    Les techniques mentionnées ci-dessus occupent une place réduite dans le sumo, mais elles épicent pas mal le répertoire technique que l'on peut observer sur le dohyo. Sans les techniques de balayage, le sumo perdrait l'enchantement de sa variété. Bien que ces techniques ne soient vues qu'en de rares occurrences, elles compensent généralement leur faible fréquence par leur caractère proprement dévastateur, aboutissant à un bel ippon (si je peux me permettre d'employer ici un terme de judo). L'uchigake, en particulier, peut se targuer presque tout le temps d'être au top de la qualité technique du sumo de makuuchi. Il existe des techniques de balayage encore plus obscures, mais celles-ci seront abordées dans le futur. Sotogake et uchigake sont le véritable cœur des techniques de prise de jambe dans le sumo.

  10. #10
    Modérateur Avatar de toonoryu
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    Hello bonsoir,

    j'espère que la dernière traduction a intéressé du monde, car en voici une nouvelle, toute fraîche et issue des archives de SFM. Encore une fois Mikko nous livre les secrets des kimarite. Enjoy !




    Kimarite focus 1 : Yorikiri, Yoritaoshi, Abisetaoshi

    par Mikko Mattila


    Le yorikiri se définit généralement comme une « poussée frontale ». Depuis 1990, environ un tiers de l'ensemble des combats de makuuchi se sont achevés par un yorikiri, ce qui en fait la technique victorieuse la plus communément employée en sumo. Le yorikiri représente l'idéal traditionnel du beau sumo, quand l'attaquant possède une prise sur le mawashi de son adversaire, et, à partir de cette position, force ce dernier à reculer au-delà de la tawara. Il est essentiel qu'il y ait un minimum de prise sur le mawashi pour que la technique soit officiellement enregistrée comme yorikiri, et il est nécessaire en outre que l'adversaire soit de face ou cde côté par rapport à l'attaquant. Si l'attaquant est parvenu à contourner son vis-à-vis et le repousse au-delà du cercle sacré avec une prise sur son mawashi, la technique sera qualifiée d'okuridashi (poussée arrière).

    Le yorikiri est la quintessence du yotsu-sumo dans sa forme la plus basique et traditionnelle, et en conséquence n'a pas toujours la faculté de déclencher des émotions intenses dans l'esprit des observateurs, car il ne se manifeste rarement sous la forme de prises très spectaculaires. On pourrait
    toutefois répliquer que l'essence du yorikiri est sa simplicité, et qu'il n'implique pas de jeters, chutes ou soulevers spectaculaires comme le montre bien sa définition. Mais encore une fois le yorikiri n'est qu'un instantané d'un moment clé du combat, et en tant que tel peut fausser l'impression que l'on aurait eu des actions l'ayant précédé, sur le dohyo. Un yorikiri peut avoir été construit à l'aide de diverses tentatives de projection ou de crochetages, de poussées ou de tractions et autres mouvements de jambes alambiqués.

    En dépit de l'avènement de l'oshi-sumo au cours des quelques dix dernières années, le yorikiri conserve sa place de technique majoritaire. Le yokozuna Takanohana était le roi du yorikiri dans les années 90, remportant plus de la moitié de ses combats sur cette technique. Le yorikiri reste la prise victorieuse de la plupart des rikishi qui se spécialisent dans le sumo de mawashi. Depuis 1990 plus de 27000 combats se sont déroulés en makuuchi. Plus de 7700 se sont achevés sur l'usage d'un yorikiri (soit environ 28,5%). en 2004 (toutes divisions confondues) il y a eu 4243 combats remportés sur yorikiri, la deuxième technique, qui est l'oshidashi, n'étant observée que 3522 fois.

    Le yoritaoshi est quelque peu identique au yorikiri, mais l'adversaire s'écroule alors sous la pression contre la tawara et atterrit en dehors du dohyo. Les mêmes principes que pour le yorikiri s'appliquent, mais la fin en est souvent bien plus spectaculaire. Pour faire simple, il y a deux raisons qui font qu'un combat s'achève sur un yoritaoshi plutôt que sur un yorikiri. Il existe des rikishi jusqu'auboutistes qui poursuivent le combat et essaient de se raccrocher aux balles de paille tandis que l'adversaire exerce sa pression. Dans de telles circonstances, il tentent des projections désespérées ou un retournement pour essayer de faire chuter leur opposant avant qu'eux-mêmes ne s'écroulent. Quand ces tentatives de dernière minute viennent à échouer, le yoritaoshi en est la conséquence logique. Le yoritaoshi peut aussi intervenir lorsque l'attaquant exerce une poussée éclair et extrêmement puissante, entraînant une chute involontaire. Dans ce cas le lutteur perd tout simplement l'usage de ses jambes comme ancrage, ou l'attaquant se trouve dans une telle position de domination, exerçant bien trop de pression, que son adversaire n'a ni le temps ni la stabilité pour se défendre convenablement, et le yoritaoshi s'ensuit.

    Depuis 1990, le yoritaoshi est la huitième technique victorieuse en makuuchi, avec une moyenne de 55 à 60 dans l'année. Si l'on prend en compte toutes les divisions, le yoritaoshi est la cinquième technique, étant bien plus présent dans les divisions inférieures. Cela est peut-être du à des différences de puissance plus marquées, ou encore parce que les rikishi de divisions inférieures sont plus enclins à tenter des défenses désespérées à la tawara, tandis que les sekitori savent quand abandonner dans ces situations pour minimiser les risques de blessures. Au cours de la grande époque de la rivalité entre les yokozua Takanohana et Akebono, dans les années 1990, le yoritaoshi, étrangement, était assez souvent la technique gagnante. Akebono défit Takanohana à cinq reprises sur yoritaoshi, ce dernier l'emportant trois fois sur cette technique, au cours de combats qui furent à chaque fois des batailles féroces jusqu'à la dernière extrémité. Akinoshima était très enclin à tenter des « coups » à la tawara, et logiquement perdit 40 combats sur yoritaoshi. Des rikishi encore en activité, Tochiazuma a perdu quinze fois sur yoritaoshi, mais à chaque fois contre des adversaires de haut niveau.

    L'abisetaoshi est en gros un yoritaoshi à l'intérieur du dohyo. Alors qu'avec un yoritaoshi le perdant se retrouve systématiquement projeté au-delà de la tawara, l'abisetaoshi voit la chute intervenir sur le dohyo. La définition officielle ne fait même pas état de la prise de mawashi comme partie intégrante de la technique, l'élément majeur étant la chute du perdant sous la pression exercée sur lui par son adversaire.

    L'abisetaoshi est très rare, et lorsqu'il intervient c'est fréquemment que quelque chose est arrivé au perdant. De fait, des huit derniers abisetaoshi intervenus en makuuchi, trois se sont produits sur blessure et deux sur glissade ou problèmes d'équilibre résultant d'une tentative de prise « exotique ». L'abisetaoshi est une incongruité, et rarement la démonstration d'une différence de puissance flagrante. En moyenne, on observe un abisetaoshi tous les 500 combats au niveau des sekitori.

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