Absolument d'accord mais je pense que ce n'est pas du tout dans la mentalité japonaise de s'arrêter pour se soigner, il faut endurer au maximum... Triste à dire mais je pense que c'est ainsi.
Absolument d'accord mais je pense que ce n'est pas du tout dans la mentalité japonaise de s'arrêter pour se soigner, il faut endurer au maximum... Triste à dire mais je pense que c'est ainsi.
Ceci est un secret.....
Tochinoshin l'a bien fait. Six mois sans tournoi. Descente au rang Mks55. Et ça lui a plutôt bien réussit. Même s'il n'était pas ozeki au départ.
Je ne doute pas qu'il y ait des exceptions, des personnes plus soucieuses de leur santé que d'autres dans ce milieu et pour moi, heureusement qu'il faut de tout pour faire un monde !
Si tu l'as, Souppooshu, relis les mémoires d'un lutteur de sumo. Tu comprendras où je veux en venir. Kirishima décrit combien s'arrêter pour blessure et l'impact sur ton rang et sur ce que la société voit de toi est critique.
Ceci est un secret.....
je pense que relire les anciens ouvrages, c'est bien, mais qu'il faut aussi évoluer avec le temps.
Liclic, as tu déjà pensé, que c'est un livre qui parle du sumo d'il y a 20 ans (edit: d'il y a entre 25 et 40 ans)... et que les personnes qui à l'époque déploraient cet état (qui est davantage un état de fait qu'un état d'esprit), sont aujourd'hui les décideurs ? Qu'en déduis tu ?
Dernière modification de Tadanobu, 03/06/2018 à 22h06
Le sumo compliqué ? Bah, facile ! Tachi-aï, BOUM ! Tu fais reculer l'adversaire d'un mètre. Ensuite, trois secondes de tsuppari, un autre mètre. Enfin, tu mets tes bras sous les siens, gaburu-yotsu et hop il est sorti.
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