Jill Coulon a aussi fait un remarquable documentaire sur un jeune lutteur de sumo. Comme elle est restée longtemps en immersion, elle peut t'apporter de précieux renseignements sur l'ambiance (comme quoi, les femmes ne sont pas si mal acceptées). Idéalement, il faudrait aller au Japon : les heya sont très accessibles pour peu qu'on se comporte correctement (il parait que les Français n'ont pas très bonne réputation). Pour les gyoji, il suffit de regarder une journée de tournoi (en janvier pour le prochain) diffusé en streaming sur le site de la NSK (ça commence tôt avec le décalage horaire et se finit vers 10 h ou 11 h en fonction des périodes de l'année). Plus les combats avancent, plus on monte en hiérarchie pour les lutteurs comme les gyoji. Pendant la préparation, on a amplement le temps d'admirer leurs costumes et leur gestuelle stéréotypée.