Je n'envisageais pas franchement de mesures, étant donné que j'ai pour ma part traduit - certes bénévolement - les ouvrages de référence sans en référer à leurs auteurs (je précise quand même qu'ils sont très anciens... ce qui explique d'ailleurs pourquoi M. Pavulesco ignore tout du phénomène mongol et du sumo depuis les années 70 en général). J'avoue que je n'ai d'autre envie que de lui savonner la planche, il ne mérite pas autre chose que du mépris.

Tout ça me laisse surtout triste de constater que pour une fois qu'on a un ouvrage en français sur le sumo, sa plus-value est nulle.