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Sujet : In the hall of the mountain kings

  1. #11
    moi je veux bien voir la suite
    pour une fois que je lis quelque chose régulièrement
    La suite... La suite... La suite... La suite... La suite...
    je voudrais pas crever avant d'avoir... B.V.

  2. #12
    Senior Member Avatar de Kaiowaka
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    mai 2004
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    Continue Toonoryu, on veut savoir la suite !!!!!!!!!

    C'est passionnant !

    Merci en tous les cas pour ton travail !
    Kaio pour toujours dans ma mémoire et maintenant place sur le dohyo à Kaisho, Enho et Hokuseiho

  3. #13
    Senior Member Avatar de Tajoha
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    Je sais pas si on peut archiver ici, mais je voulais dire mettre ta traduction en valeur d'une manière ou d'une autre de telle sorte que tout le monde puisse y avoir accès rapidement (et que ça ne sombre pas dans les profondeurs du forum). Peut être en faire un article ?
    Bench sumo shikona : Tajima

  4. #14
    Modérateur Avatar de toonoryu
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    A mon avis, c'est un peu long pour en faire un article (dans les soixante pages actuellement, au 2 février). J'avoue que je ne maîtrise pas les arcanes d'internet pour savoir quoi faire à ce niveau. A propos, faudra patienter au moins jusqu'à demain pour la prochaine livraison, qui est un peu plus longue. Sujet : l'entrainement.

  5. #15
    Senior Member Avatar de Kaiowaka
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    On s'en réjouit d'avance et on patientera le temps qu'il faudra !!!!!!
    Kaio pour toujours dans ma mémoire et maintenant place sur le dohyo à Kaisho, Enho et Hokuseiho

  6. #16
    Modérateur Avatar de toonoryu
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    septembre 2004
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    Aaaargh, j’ai quand même réussi à trouver une heure ou deux pour achever la traduction du jour, pour les lecteurs assidus du forum (l’autoglorification, j’y crois même pas…). Voici donc les suites des aventures de Jacob, qui assiste à son premier entraînement. Enjoy !

    Lundi, 20 décembre 2004



    L’entraînement

    Je me réveille le samedi sur les coups de six heures du matin, avec les lutteurs autour de moi qui émergent lentement de leur sommeil et se préparent pour l’entraînement. Mon énorme voisin de lit, Saita, a déjà roulé son couchage et reste assis dans le noir, entourant ses poignets et chevilles de bandages.

    Après son départ, je me lève et descend au rez-de-chaussée. Je tombe sur Batto dans le couloir. Il porte un mawashi et me fait signe d’aller dans la salle commune. Contiguë à cette dernière, se trouve une aire d’entraînement de taille similaire, au sol en terre battue. Elle se trouve à un niveau inférieur, si bien que l’entrée de la salle commune fait saillie. Au centre de cette saillie se trouve un coussin vide avec d’un côté un cendrier vide, et de l’autre un quotidien sportif attendant l’oyakata, comme je le suppose avec raison.

    Au centre de la salle d’entraînement de trouve le dohyo, aire circulaire délimitée par d’étroites botte de pailles à demi-enterrées.

    Pour l’instant, je n’ai encore vu personne dans la pièce, il n’y avait ce matin qu’un gros monticule de terre avec un papier blanc savamment plié enfoncé au sommet – qui se révèlera être de nature religieuse (ndla : si quelqu'un peut développer...).

    Là, le gros monticule a disparu, et les lutteurs se tiennent en rangs dans la pièce. L’un d’entre eux commence à égrener un compte et, à chaque chiffre, les lutteurs frappent l’une de leurs cuisses, lèvent une jambe de côté, la frappent au sol puis s’accroupissent. Les levers de jambe ne sont pas franchement synchronisés, mais sont plutôt comme une lente pétarade.

    Ils portent tous un mawashi gris, et à peu près la moitié d’entre eux ont des bandages aux pieds ou aux mains. Certains ont d’énormes ventres proéminents, de grosses poitrines tombantes et de grotesques amas de bourrelets dégoulinants sur les côtés de leur mawashi. Mais, même chez les plus gros, leur musculature est clairement apparente. Quand ils frappent le sol, leurs amas de chair sont comprimés et leurs muscles tendus apparaissent.

    Après leurs étirements, ils forment alors une sorte de file indienne et s’avancent autour du périmètre du dohyo. Un lutteur balaie alors celui-ci, tandis qu’un autre l’arrose avec l’eau d’un pot de fleur bleu ciel.

    Deux lutteurs se mettent alors face à face, puis se chargent mutuellement. Après une brève échauffourée, l’un d’eux se retrouve en dehors. Les combats se succèdent à un rythme soutenu, un nouvel adversaire se présentant pour remplacer celui venant d’être projeté au dehors ou, moins souvent, au sol.

    Le choc d’entrée est une collision brutale. Quelques uns entrechoquent leurs têtes, et l’on peut entendre le bruit des crânes qui se cognent. Un autre lutteur, après avoir encaissé un grand nombre de charges à l’épaule, se met à saigner au point de contact. Et, au vu des traces, bleus et coupures présentes dans la salle, c’est apparemment un matin plutôt calme.

    Peu après le début des combats, le Kashira fait son entrée par une porte extérieure. Il enlève ses chaussures et sa veste. Peu après, le Yobidashi entre dans la salle commune, toujours dans son T-shirt « Scorpion Boy » et un pantalon à carreaux, et s’assied juste derrière moi. Lui faisant un signe, le Kashira lui souffle quelque chose à l’oreille, apparemment pour m’enjoindre de ne pas m’asseoir le jambes étendues comme je l’ai fait jusqu’à présent. Je dois être assis jambes croisées, m’indique le Yobidashi. Un jour et demi après être resté assis pendant les quatre heures d’entraînement, mes jambes me font toujours mal.

    Environ une heure et demi après le début des combats, le Sekitori fait son entrée, dans un mawashi blanc. Tous les lutteurs s’inclinent devant lui avec déférence, tandis qu’il s’avance vers le robinet qui se trouve de l’autre côté de la salle d’entraînement, où il se rince la bouche de grandes gorgées d’eau. Bien qu’étant le lutteur le plus accompli dans la pièce, il est loin d’être le plus gros. Ses bras et ses jambes sont fins, avec des muscles bien dessinés, son ventre, rond et ferme comme une pierre polie. Il reste dans un coin de la salle, pratiquant des étirements et levers de jambe.

    Finalement, environ deux heures après le début de l’entraînement, l’Oyakata descend les marches qui mènent de son appartement au hall d’entrée. Il s’assied sur le coussin qu’on lui a disposé et s’allume une cigarette. Après un instant, il se penche vers moi et me murmure « vous voulez un petit-déjeuner ? ». Je lui fais signe que ça va, bien qu’affamé et en manque cruel de caféine.

    L’Oyakata et le Kashira restent à leur place sur l’entrée, lançant d temps à autres des critiques aux perdants des matches. Les combats se poursuivent l’un après l’autre, des lutteurs de rangs proches se bousculant pour prendre place face au dernier vainqueur, se contemplant durant un bref instant d’éternité, puis s’entrechoquant au milieu du dohyo. Après chaque douzaine de matches, un lutteur se positionne au bord du dohyo et laisse un autre lutteur le charger. Il se laisse pousser au travers du dohyo sans soulever ses pieds, en grattant la surface comme une surfaceuse humaine. Puis les deux lutteurs simulent un match rapide, celui ayant servi de surfaceuse se laissant projeter au sol, en faisant un saut de l’ange avant de sauter sur ses pieds.

    Après pas mal de reprises de cela, la plupart des lutteurs qui ont combattu ayant eu l’opportunité de pousser ou d’être poussés, le dohyo est à nouveau balayé et arrosé, puis une nouvelle série de matches reprend avec des lutteurs plus haut classés.

    Dans la dernière série, Kitamura et un véritable géant du nom de Nakahara affrontent tour à tour le Sekitori. Dès que ce dernier fait son entrée sur le dohyo, trois jeunes lutteurs – Batto le Mongol, un costaud nommé Fuchita et Hayeshida, lui assez petit et paraissant très jeune – s’alignent à l’arrière, porteurs respectivement d’une serviette, d’un bol de sel et d’un balai. Le Sekitori prend alors quelques poignées de sel, et s’en frotte les bras, les jambes et la bouche, puis et répand sur le dohyo. Puis il affronte Kitamura.

    Kitamura est de loin le lutteur le plus fin, toute chose étant relative. Son torse est large et bien dessiné avec, chose extrêmement rare ici, des abdominaux clairement visibles. L’ensemble de sa carrure fait qu’il ne semble pas déplacé parmi les autres lutteurs, mais presque l’ensemble de celle-ci est composée de muscles.

    Malgré cela, il ne fait pas le poids devant le plus gros mais plus flasque Sekitori, qui le sort du dohyo match après match. Très rarement, le Sekitori peut se retrouver sur le point d’être lui même projeté, mais même en ces occasions, il se débrouille pour contourner son adversaire pour le balancer en dehors.

    L’une des rares fois où il se retrouve entraîné au dehors du dohyo est quand le bien plus imposant Nakahara parvient à le coincer dans son étreinte sur le rebord du dohyo et, se servant de son énorme ventre comme d’un levier, soulève le Sekitori pour le déposer en dehors des limites.

    Les victoires du Sekitori sont, malgré cela, largement plus nombreuses. Il excelle dans l’art d’utiliser la force de son adversaire le projeter lui-même en dehors. Lorsqu’il est chargé, il s’écarte souvent au dernier moment, attrapant son adversaire par le mawashi et l’entraînant en dehors du dohyo grâce à son inertie.

    Lors d’un combat avec Nakahara, alors qu’il agrippe celui-ci, le Sekitori commence à le provoquer vertement : « Tu comptes faire quoi ? Tu comptes faire quoi ? », lui dit-il alors que, pratiquement submergé dans les chairs du géant, il finit par le faire valser autour du dohyo avant de le laisser simplement s’écrouler.

    A la fin de cette série de confrontations, le dohyo se transforme en une « surfaceuse pour tous », les lutteurs se succédant dans des séries de poussées. Kitamura et Nakahara, tour à tour, offrent une louche d’eau au Sekitori, qu’il refuse. Les lutteurs sont couverts de sueur, leurs cheveux retombant de leurs chignons. Beaucoup ont le dos entièrement recouvert de terre qui se colle sur eux lorsqu’ils sont projetés au sol.

    Entre temps, je commence à m’inquiéter. Je commence à me demander ce qui a bien pu me passer par la tête quand je me suis imaginé que je pouvais m’entraîner avec ces gars. Je m’étais sans doute imaginé qu’il feraient quelques séances de gym, répèteraient des mouvements comme dans un cours de judo, et qu’ils s’affronteraient dans quelque combats raffinés et softs.

    Je suis très loin du compte. Voilà comment ils s’entraînent vraiment : ils s’entrechoquent comme deux locomotives face à face, poussent, bousculent, culbutent ou agrippent l’autre jusqu’à le soumettre. Aucun calcul : on saute sur le dohyo et on y va. Je réalise soudain que me confronter à l’un de ces gars sur le dohyo serait comme foncer à mobylette contre une rame de métro. Je serais broyé, au sens propre.

    C’est peut-être vrai, toutefois, j’essaye de reprendre mon sang-froid. Je peux toujours aller ici et là, regarder ce qui se passe, parler au maximum de personnes. Je ne suis pas forcé de monter sur le dohyo pour tirer les vers du nez du maître.

    C’est alors que, tandis que les lutteurs s’essuient et entament le balayage final du dohyo, l’Oyakata se penche à nouveau vers moi
    « alors, vous voulez essayer ? ».

    j’ai comme dans l’idée que la réponse qu’il attend, et que je partage désormais, est un « non ». J’essaie donc de m’en tirer avec le plus d’élégance possible.
    « Vous savez, j’aimerais essayer, mais je n’ai aucune idée de la façon de faire ».

    A ma grande surprise, toutefois, il ne me laisse pas m’en tirer ainsi.
    « Bien sûr, mais quelqu’un peut vous l’apprendre, petit à petit. Et s’il y a quelque chose que vous ne voulez pas faire, vous n’êtes pas obligé de le faire ».

    en un clin d’œil, je me retrouve replongé dans la partie. Lundi (le dimanche est leur jour chômé), je débuterai mon entraînement de sumo.

    Dans l’intervalle, Batto a commencé à balayer le terre en surface du dohyo en un monticule disposé au centre, comme je l’avais entraperçu auparavant, tandis que quelques lutteurs discutent avec le Sekitori. Dans la pièce commune, le coiffeur de sumo, le « tokoyama », qui est arrivé et a commencé sa préparation pendant les derniers matches, travaille les cheveux d’un lutteur avec de l’huile parfumée et les attache en un chignon. Le tokoyama – son nom est Tokokado – vivait dans la heya, mais l’a quittée lorsqu’il s’est marié, et apparaît désormais à la fin des séances d’entraînement.

    Alors que je m’apprête à quitter la pièce, le Sekitori m’appelle, me désignant Hayeshida.
    « hey, c’est un pédé » dit-il. Rire général. Je me figure que quand le Sekitori lance une blague ou une insulte, tout le monde rit.

    « Vraiment ? » demandé-je innocemment. Je ne sais pas trop quoi dire. Je ne veux pas entrer dans le jeu du Sekitori en riant moi-même, mais je ne peux pas rester complètement indifférent.

    Ma réponse fait rire le Sekitori et, par voie de conséquence, tout le monde. Ce qui pousse le Sekitori a poursuivre sa blague « lui aussi, c’est une fiotte », dit-il, en montrant Kitamura, déclenchant de nouveaux rires. « Il est bisexuel ».

    « Oh », dis-je en quittant la pièce.

    Je remonte dans ma chambre, où Moriyasu, qui est mon voisin, joue avec son cellulaire en écoutant Missy Elliot. Moriyasu est arrivé dans la heya treize ans auparavant, à l’âge de quinze ans. Il est actuellement en makushita, le plus haut rang des waikashu, les divisions inférieures, juste en dessous du Sekitori qui, comme juryo, est au rang le plus bas des divisions professionnelles.
    Après avoir attendu que le Sekitori en ait fini avec son bain, Moriyasu va lui-même se baigner et m’invite à le rejoindre. Je commence à croire que les lutteurs, ici, sont un peu trop enclins à partager leur bain avec moi, mais me range finalement à l’explication qu’ils veulent être sûrs que je sais comment prendre un bain à la japonaise, où l’on se récure avant de plonger dans la baignoire. Deux autres lutteurs – particulièrement énormes – nous rejoignent dans la salle de bains.

    J’aimerais pouvoir dire quelque chose d’intelligent à propos sur l’expérience de partager un bain avec trois sumotori couverts de mousse, mais cela s’avère particulièrement banal.

    Bref, une fois baignés, Moriyasu me dit que je devrais remercier l’Oyakata. Je ne comprends pas très bien pourquoi, puisque je viens juste de lui parler durant l’entraînement, mais il me conduit en haut des marches et m’enjoint de dire « Otsukarisan degozaimasu », version sumoïstique d’une expression banale de remerciement après une dure journée de labeur. Arrivés à l’appartement de l’Oyakata, nous passons devant son épouse assise dans la cuisine et arrivons dans le bureau où se tient l’Oyakata.

    « Otsukarisan degozaimasu », dis-je, tandis que Moriyasu me retire les mains des poches où je les ai inconsciemment et fort impoliment fourrées alors que je m’adresse à l’Oyakata. Lorsque ce dernier me donne congé, Moriyasu me pousse en dehors du bureau et me bouscule jusqu’en bas en me réprimandant avec un maternel « Garde tes mains hors de tes poches quand tu parles à l’Oyakata ».

    De retour à la salle commune, le Sekitori est en train de prendre son repas, assis tout seul par terre. Hayeshida, Fushita et Batto se tiennent debout de l’autre côté de la table, lui servant son chanko-nabe et lui versant du thé glacé, encore dans leur mawashi qui les fait en la circonstance ressembler à de jeunes esclaves de la Grèce antique.

    Dans un nouvel exemple de mon statut ambigu dans ce monde hautement stratifié, Moriyasu m’indique que je devrais commencer à manger, maintenant, avec le Sekitori dont je croyais qu’il mangeait toujours le premier et seul. Je m’assied à ses côtés, et Fuchita me sert un bol de chanko-nabe. Puis le Sekitori lui crie de me servir un verre de thé glacé : c’est la première et dernière fois que j’aurai une boisson avec un repas en ces lieux.

    Alors que nous mangeons, les lutteurs défilent, se rendant eux-mêmes chez l’Oyakata pour le remercier. Je me rends compte que c’est quelque chose que tout le monde fait tous les jours une fois baigné après la séance d’entraînement matinale. Alors qu’un lutteur traverse la pièce, le Sekitori me dit « son nom est Gu-Rauns ».

    Je le crois sur parole, bien que tout le monde se mette à rire, y compris le lutteur qu’il désigne. « Okay », répons-je.
    « Il est de Yamaguchi » poursuit le Sekitori, attendant les rires. « Gu-Rauns veut dire ‘trou du cul’ dans le patois de Yamaguchi. C’est pour cela que c’est son nom ».
    « Oh, vraiment ? » dis-je, recherchant une réplique qui éviterait de rentrer dans son jeu. « on dirait du Français ». Je répète alors « Gu-Rauns » quelques fois avec un accent français très prononcé.
    « Français, vraiment ? » dit le Sekitori, tandis que le lutteur de Yamaguchi poursuit son chemin « là, ça le fait pas mal ».

    le nabe est bien meilleur que celui de la veille : il consiste en des morceaux de poulet dans un bouillon clair, accompagné de choux, champignons et carottes. Les assiettes complémentaires – des tranches de gâteau de poisson avec une sauce légèrement pimentée et de petites tranches de viande grillée – sont également plus comestibles. Mais j’ai du mal à en profiter en la présence du Sekitori et de ses esclaves, et je respire donc quand celui-ci annonce « je suis plein » et part rejoindre ses propres quartiers.

    Je tyermine mon propre repas et remonte en haut dans la chambre, avec l’intention de tuer le temps jusqu’à ce que tout le monde ait fini de manger et se soit couché, pour pouvoir sortir sans rendre de comptes et brancher mon ordinateur sur une ligne téléphonique et vérifier mes e-mails. Mais, chose peu surprenante après une journée sans caféine, je m’endors moi-même une paire d’heures jusqu’à l’heure du dîner. Après le dîner, je regarde en compagnie de quelques lutteurs une série coréenne, avant de retourner me coucher.

    Ce rythme de vie, manger, dormir, manger puis dormir encore, est la raison précise de la prise de poids des sumotori.

  7. #17
    Modérateur Avatar de toonoryu
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    Au fait, toujours personne qui pourrait m'indiquer ce qu'est le miso, en cuisine japonaise ?

  8. #18
    Senior Member Avatar de Konosato
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    Le miso? eh bien cliquez ici pour en savoir plus
    J'ai décidé d'être heureux, car c'est meilleur pour la santé.
    Voltaire.

  9. #19
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    C'est très intéressant toonoryu, je ne voyais pas la vie des sumotoris si difficile.

  10. #20
    Superbe traduction que tu nous fais là toonoryu ! Le texte en lui-même est formidable car l'idée de départ est très bonne et j'attends chaque nouveau jour avec impatience (même si je lis un petit peu l'anglais).

    Bravo !
    Père Boulon

    Il n'y a de richesse que d'Hommes.

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