Ce matin, je suis allé au Kasugano beya avec le simple espoir de voir Kasuganishiki et qu'il se souvienne de moi, le boulet de service qui l'avait pris en photo dans la rue deux jours avant. Bon, apparemment, il m'a reconnu mais point barre. Dès mon arrivée, les 5 sekitori du heya étaient à l'échauffement : Tochinonada, Tochiôzan, Tochinohana (c'est lui qui dirigea les jeunes), Tochinoshin, Kasuganishiki et Kimurayama. Déjà, en voir autant, j'étais super content. Mais alors, quand sont arrivés progressivement et tour à tour d'autres sekitori tels : Hômashô, Takamisakari (yes, j'ai vu mon lutteur préféré ^^), Futenô, Asasekiryû, Tokitenkû, Toyozakura (à côté de qui j'avais mangé il y a quelques jours) et, enfin... Asashôryû. Ben, j'avais les yeux bien ouverts, en grand, version panoramique pour en prendre le plus possible dans les mirettes ! Près d'une quinzaine de sekitori... Ca attire les journalistes, vers 9h15, ils sont arrivés en masse, j'étais le seul non journaliste ou non membre du kôenkai... le seul gaijin aussi... avec un calepin et un appareil photo (caméscope sans batterie = caméscope inutile mais vu que j'avais tout le temps du monde devant moi, ce n'est pas si grave). L'atmosphère est devenue tendue quand les sekitori se sont entraînés. Takamisakari est vraiment une taupe qui ne distingue pas Kimurayama de son tsukebito à 1 mètre... Quand tout le monde est parti, je suis resté 5 minutes de plus et c'est Tochinofuji, le "wakamono" du heya qui m'a dit de sortir (j'étais en mode "Tony" : je reste tant qu'on me dit pas de sortir !" ^^ puis comme ça, on me repère, des fois que ça m'offre des possibilités plus tard... ou me ferme des portes ? pari risqué :P).
Asafan, régale-toi, j'ai pris ton chouchou en photo.
*EDIT* j'ai confondu Tochiôzan pour Jûmonji, et Tochinohana pour Tochiôzan. j'ai corrigé ;p
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