... ce qui ne devrait donc pas handicaper notre ami canadien...Envoyé par pereboulon
... ce qui ne devrait donc pas handicaper notre ami canadien...Envoyé par pereboulon
A ce sujet justement, n'a-t-on pas dit qu'il n'y avait eu aucune nouvelle recrue au dernier basho et que les jeunes japonais se détournaient de plus en plus du sumo?Envoyé par pereboulon
Y'a-t-il des chances que face à cette situation, les réglementations sur le recrutement des étrangers s'assouplissent un peu?
Ce serait logique...et super :PEnvoyé par Oshodani
Que veux-tu dire par prendre contact ?[/b]Envoyé par pereboulon
Contacter une heya je presume. Il faut bien commencer quelque part.
Je ne vois pas ou est la logique; celle de la NSK serait plutôt (après l'affaire Asashôryû):Envoyé par tank94
Fin de la déclaration de la NSK (imaginaire mais possible, voire probable en ce moment).Envoyé par NSK
C'est vrai mais les japonais sont des personnes raisonnables et ils donnent la chance au coureur. En étant stricts comme avec Asashoryu, ils désistent les autres sumotori, étrangers ou japonais, de faire de même.
Je ne pense pas que la NSK raisonne de cette façon. Pour moi, elle a eu suffisamment d'exemples d'étrangers exemplaires jusqu'au plus haut rang (je pense évidemment à Akebono et Musashimaru) pour être consciente que c'est un problème de personnalité d'un individu, pas d'un problème entre japonais et "gaijins".Envoyé par Info-sumo
Même les plus ouverts des japonais pensent qu'ils sont un peuple très différent des autres. le milieu du sumo est un milieu extrêmement conservateur ou les étrangers contrairement à ce que certains pourraient croire ne sont admis qu'au compte-goutte à condition qu'ils se tiennent à carreau.
Je suis quasiment sûr que bon nombre de responsables ont vite fait de penser que le problème est spécifique aux étrangers incapables de connaître la culture japonaise.
D'ailleurs ceci n'est pas propre au milieu du sumo. Même si les japonais restent courtois et aiment bien avoir des relations d'amitié avec des étrangers, souvent cela ne reste qu'une façade. Ce qu'on appelle le "tatemae".
En réalité, au fond d'eux-mêmes ils restent très méfiants et pour la plupart convaincus que l'étranger à un comportement pas forcément approprié à leur style de vie.
Dans le sumo, il suffit de voir qui sont les fans au japon: des japonais plutôt avancés en age (donc pas des jeunes) et qui sont les moins à même de s'ouvrir sur l'extérieur. Au moindre faux-pas, j'entends déja les "yappari! gaijin da!" (Ah vraiment! c'est bien un étranger celui là!).
Non je n'ai pas une vision pessimiste, mais après 25 ans de voyage au japon, quelques années de vie sur place, je commence à les connaître un peu... et cela m'étonnerait beaucoup que les portes s'ouvrent plus grand pour accueillir beaucoup plus d'étrangers dans le sumo.
D'accord. alors seuls les vrais méritants et respectueux de l culture japonaise y survivront. Cela ne demandra que encore plus de détermination aux étrangers. S'ils sont capables de gagner le respect des japonais, c'est qu'ils sont vriament méritants.
Changeant de sujet quelque peu, je lisait la biographie de John Tenta sur Wikipedia. Il a commencé la lutte a 6 ans, et a 18 ans il était champion national junior... Croyez-vous qu'il est trop tard pour moi de commencer la lutte ? Car si l'on suit son parcours, il lui a fallu être champion national junior a 18 ans, terminer 6eme aux mondiaux de lutte junior et enfin avoir une bourse d'édutes dans une université américaine et avoir beaucoup de succès à celle-ci pour enfin se faire découvrir par hasard par un ancien Yokozuna qui était en voyage a Vancouver...
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