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Afficher la version complète : Le sumo de moins en moins populaire?



Yoshi
23/08/2009, 01h19
Je me demandais:

Es-ce que le sumo est de moins en moins populaire chez les habitants japonais (qui la regarde a la télé ou au stade) ?

Y a de moin en moin de nouveau sumo?

Merci!

Yoshi 8)

maruchan
23/08/2009, 11h06
D'une manière générale ce sont surtout les seniors qui s'intéressent au sumo. Chez les plus jeunes, l'intérêt va au football et surtout -dans une large majorité- au base-ball.

gotonin
23/08/2009, 12h32
On dit souvent que c'est surtout des petits vieux qui vont au Bâsho... Je pense qu'il y a quand même plus de femmes âgées entre 30 et 60 ans.

skydiver
23/08/2009, 12h45
Relativement peu de jeunes lors des basho mais on parlait déjà de mort programmée ou, au moins, de perte de vitesse inéluctable à la fin de la décennie passée.
Par ailleurs, les niveaux d'audience sur NHK restent corrects.

Kaiomitsuki
23/08/2009, 15h27
Par ailleurs, les niveaux d'audience sur NHK restent corrects.
les taux de remplissage des salles des 6 tournois majeurs sont également en hausse depuis une année je crois

Yoshi
23/08/2009, 16h06
Merci pour vos réponse!

Mais le taux des téléspectateur enfant et ado est en baisse si j'ai bien compris?

Yoshi 8)

skydiver
23/08/2009, 16h48
Je crois que le sumô à la télévision n'a jamais beaucoup attiré les enfants et adolescents. Ce à l'inverse du baseball et du football. Donc je ne le vois pas en baisse à ce niveau.
C'était déjà comme ça il y a une quinzaine d'années.

Sakana
23/08/2009, 17h38
Ce qui empêchera pas que, parfois, tu puisses voir débarquer des classes de lycéens dans le Kokugikan au début du makuuchi. J'ai pu voir ça y'a un an et ils donnaient de la voix (surtout pour Gôeidô). :)

Yoshi
23/08/2009, 17h53
Merci a tous pour vos réponse!

Yoshia 8)

skydiver
23/08/2009, 19h32
Effectivement, sur chaque basho on voit des classes invitées. Comme tu dis, les écoliers donnent de la voix pour leurs idoles, à l'image des stades de football ou de baseball. Tant mieux si ces visites suscitent des vocations ou, à tout le moins, donnent le goût du sumô.
Je reste convaincu que le sumô continuera de vivre dans l'inconscient collectif des Japonais.