Hoshifransu
24/08/2004, 21h58
Je ne sais plus quel célèbre auteur de la littérature française disait souvent celà, de façon optimiste, pour dire que l'on se plaint beaucoup (et moi le premier) mais qu'on se plaignait déjà avant que ça allait déjà mal avant et qu'on se plaint tout le temps, en somme !
Ainsi, selon cet article (http://english.aljazeera.net/NR/exeres/C849036A-F28F-426B-AC53-1318734A8958.htm) d'avril dernier, du site web de la chaîne Aljazeera, il y a certes, actuellement dans le sumo des tickets qui se vendent bien moins qu'avant, lors de l'époque du "Taka-Waka boom" et il aurait impensable il y a seulement 1 an, que les places pour un tournoi du Ryogoku Kokugikan n'aient pas déjà été vendues des mois à l'avance !
Or, en fin d'article, Fred Varcoe, un journaliste anglais, qui a couvert le Japon pendant 17 ans, se souvient qu'on pouvait encore acheter des tickets pour le tournoi, au jour le jour, et ce, à l'époque de Chiyonofuji, l'un des plus grands lutteurs de tous les temps !
C'est cyclique, selon Fred Varcoe. Si l'on suit sa pensée, depuis la fin du Taka-Waka boom, on est dans un creux mais ça devrait revenir.
Varcoe ajoute que la présence d'Asashoryu comme unique yokozuna sans aucun autre champion local, n'est pas une si mauvaise situation que l'on croit, pour le succès du sumo, car selon Varcoe, "c'est bon pour le sport car les gens aiment le détester"
Ayako Suzuki, de l'Association Japonaise de Sumo émet l'hypothèse qu'étant donné que le Japon a eu des problèmes économiques pendant quelques années, maintenant, et que les gens ont moins d'argent pour aller voir du sumo.
Ainsi, selon cet article (http://english.aljazeera.net/NR/exeres/C849036A-F28F-426B-AC53-1318734A8958.htm) d'avril dernier, du site web de la chaîne Aljazeera, il y a certes, actuellement dans le sumo des tickets qui se vendent bien moins qu'avant, lors de l'époque du "Taka-Waka boom" et il aurait impensable il y a seulement 1 an, que les places pour un tournoi du Ryogoku Kokugikan n'aient pas déjà été vendues des mois à l'avance !
Or, en fin d'article, Fred Varcoe, un journaliste anglais, qui a couvert le Japon pendant 17 ans, se souvient qu'on pouvait encore acheter des tickets pour le tournoi, au jour le jour, et ce, à l'époque de Chiyonofuji, l'un des plus grands lutteurs de tous les temps !
C'est cyclique, selon Fred Varcoe. Si l'on suit sa pensée, depuis la fin du Taka-Waka boom, on est dans un creux mais ça devrait revenir.
Varcoe ajoute que la présence d'Asashoryu comme unique yokozuna sans aucun autre champion local, n'est pas une si mauvaise situation que l'on croit, pour le succès du sumo, car selon Varcoe, "c'est bon pour le sport car les gens aiment le détester"
Ayako Suzuki, de l'Association Japonaise de Sumo émet l'hypothèse qu'étant donné que le Japon a eu des problèmes économiques pendant quelques années, maintenant, et que les gens ont moins d'argent pour aller voir du sumo.