Konosato
29/07/2006, 15h06
C’est dans le quartier de Ryôgoku à Tokyo que l’on a construit en 1909 la première arène couverte dédiée au Sumô (Kokugikan). Enfin on pouvait indépendamment des intempéries organiser des tournois qui se passaient jusqu’alors à l’air libre. C’est à partir de cette date que beaucoup de Beya sont venu s’établir dans ce quartier. A l’époque, avec ses 15000 places le Kokugikan était considéré comme le plus somptueux stade couvert voué au sport de toute l’Asie. L’édifice a été plusieurs fois détruit ou emdommagé. Incendie en 1917, tremblement de terre du Kantô en 1923 et bombardement par les américains en mars 1945. Avec la construction de ce bâtiment le Sumô a reçu un nouveau domicile ce qui a contribué à une augmentation de l’intérêt pour ce sport.
http://www.city.sumida.lg.jp/kunosyoukai/history/images/kokugikan.gif
Le premier Kokugikan de 1909
Après la dernière guerre mondiale les alliés ont pris possession du Kokugikan, l’on appelé “Memorial Hall” et y on installé une patinoire. En 1950 a été érigé un nouveau temple dédié au Sumô, mais cette fois dans le quartier de Kuramae. Celui-ci sera pendant 35 ans le point de rencontre de tous les Sumôtori.
http://images.google.ch/images?q=tbn:j2TwfrYNWPiS7M:home.att.ne.jp/red/sumo/koudou1.jpg
Le deuxième Kokugikan de 1950
Depuis que le premier Kokugikan a été réquisitionné par les alliés il y a toujours eu une tendance à ce que l’on retourne dans “la vieille patrie” c’es à dire dans le quartier de Ryôgoku. Ce désir n’a été concrétisé que quand la Japan National Railways (JNR) a mis en vente une parcelle de terrain près de la gare de Ryôgoku. La construction du nouveau Kokugikan a débuté en avril 1983 et a été terminé en novembre 1984, et déjà en janvier 1985 a eu lieu le premier Basho.
http://www.unep.or.jp/ietc/Publications/Urban/UrbanEnv-2/img/photo_01_Kokugikan.gif
Le troisième Kokugikan de 1985
Petites anecdotes: Kitanoumi, 55ème Yokozuna, 24 Yusho et aujourd’hui Rijicho de la NSK a déclaré son Intai après la troisième journée de cet Hatsu 1985 sans avoir gagné une seule de ses confrontations dans le nouveau temple du Sumô. Chiyonofuji quant à lui, a tout de suite démontré qui était le maître de maison en gagnant pendant deux ans tous les tournois dans cet édifice. Son vieux rival Takanosato n’a jusqu’à sa retraite (janvier 1986) jamais pu remporter un seul Yusho dans ce Kokugikan flambant neuf.
Tiré du livre “Sumô Kampf der Giganten” de Alexander von der Groeben et Simone Mennemeier.
http://www.city.sumida.lg.jp/kunosyoukai/history/images/kokugikan.gif
Le premier Kokugikan de 1909
Après la dernière guerre mondiale les alliés ont pris possession du Kokugikan, l’on appelé “Memorial Hall” et y on installé une patinoire. En 1950 a été érigé un nouveau temple dédié au Sumô, mais cette fois dans le quartier de Kuramae. Celui-ci sera pendant 35 ans le point de rencontre de tous les Sumôtori.
http://images.google.ch/images?q=tbn:j2TwfrYNWPiS7M:home.att.ne.jp/red/sumo/koudou1.jpg
Le deuxième Kokugikan de 1950
Depuis que le premier Kokugikan a été réquisitionné par les alliés il y a toujours eu une tendance à ce que l’on retourne dans “la vieille patrie” c’es à dire dans le quartier de Ryôgoku. Ce désir n’a été concrétisé que quand la Japan National Railways (JNR) a mis en vente une parcelle de terrain près de la gare de Ryôgoku. La construction du nouveau Kokugikan a débuté en avril 1983 et a été terminé en novembre 1984, et déjà en janvier 1985 a eu lieu le premier Basho.
http://www.unep.or.jp/ietc/Publications/Urban/UrbanEnv-2/img/photo_01_Kokugikan.gif
Le troisième Kokugikan de 1985
Petites anecdotes: Kitanoumi, 55ème Yokozuna, 24 Yusho et aujourd’hui Rijicho de la NSK a déclaré son Intai après la troisième journée de cet Hatsu 1985 sans avoir gagné une seule de ses confrontations dans le nouveau temple du Sumô. Chiyonofuji quant à lui, a tout de suite démontré qui était le maître de maison en gagnant pendant deux ans tous les tournois dans cet édifice. Son vieux rival Takanosato n’a jusqu’à sa retraite (janvier 1986) jamais pu remporter un seul Yusho dans ce Kokugikan flambant neuf.
Tiré du livre “Sumô Kampf der Giganten” de Alexander von der Groeben et Simone Mennemeier.