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Afficher la version complète : Nouveau gaijin...



toonoryu
13/02/2006, 08h02
Levan Gorgadze (mentionné dans le dernier numéro du PBI) fait son entrée officielle dans la Kasugano-beya. Pas de shikona connu jusqu'à maintenant. Ce recrutement met la Géorgie en troisième position des recrutements étrangers après la Mongolie et la Russie. Cela laisse également Isenoumi-, Minezaki-, et Nakamura-beya comme dernières heya "résistantes" au quota possible d'un gaijin par heya (Isenoumi oyakata a d'ailleurs déclaré que tant qu'il serait en place, il n'y aurait pas d'étranger dans sa heya).

Merci à Moti

skydiver
13/02/2006, 08h43
(Loin de moi l'idée de faire de la sémantique forcenée mais "gaikokujin" serait plus adapté que "gaijin". Le premier terme est d'ailleurs celui utilisé par la presse japonaise au détriment du second qui implique une connotation négative.)

L'information est intéressante et il serait intéressant de savoir pourquoi certains pays de l'ex bloc communiste ne fournissent pas - ou peu - de lutteurs.
Si on prend le cas de l'Ukraine, ce pays est devenu un grand pourvoyeur de très bons boxeurs (boxe anglaise). L'Ouzbekistan est, dans une moindre mesure, un cas similaire.
Les Géorgiens ont certes une tradition de sports de combat de préhension bien établie mais ont pourrait imaginer que les ressortissants des nouveaux pays de la région s'engouffrent dans la brèche.

Merci pour l'information.

Kaiowaka
13/02/2006, 11h37
Minezaki vient aussi d'annoncer l'engagement de son étranger en la personne de Uuganbator (?????) venant de Mongolie. Il sera le 35ème mongol en activité.

Merci à Kintamayama pour cette nouvelle.

Il ne reste plus que 2 (voire 1, vu les paroles d'Isenoumi oyakata) heya sans étranger......................!

Terarno
13/02/2006, 16h12
Voici le lien vers un article datant de novembre 2005 qui parle de Baruto et de Levan Gorgadze :
http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2005/11/02/AR2005110202968_pf.html

Je cite :
"There are many young wrestlers like me in Georgia whose only wish is to become a professional sumo wrestler," said Levan Gorgadze, 18. Gorgadze, 6 feet 5 and 276 pounds, arrived in Japan last month to turn pro after two years on the international amateur circuit. He became interested in sumo when one of his countrymen shot to fame in Japan in 2001.

Gorgadze, a dashing young man with blue eyes and sandy hair, is now living with a group of Japanese college sumo hopefuls who are also waiting to be drafted by a professional stable, an official house of sumo wrestlers. Once drafted, Gorgadze will be forced to scrub toilets and lay out futons for older pros for at least his first year of training.

He speaks no Japanese or English and eats in silence as he watches the Japanese wrestlers cheerfully chat amongst themselves. He has been told he needs to gain at least 40 pounds to have a shot at the top, and that he also needs to learn the polite form of Japanese speech and master the art of emotional restraint in public. For now, his only lifeline is the cell phone he uses to call his family back home, plus an oversized dream. "I am filled with the desire to win," he said through a Georgian interpreter.

"I know that in Japan, I can become rich and famous as a sumo wrestler," Gorgadze said. "That is not an option for me back home in Georgia."